la vie

18.6.07

17.6.07

Mon fils, mon combat !
Auteur Myriam Decaux
Mon amour, mon petit coeur toi qui m'apporte tant de bonheur tu es né un peu désavantagé on dit de toi que tu es handicapé
Tu es un petit garçon à l'esprit vif tu es énergique et tellement inventif ton monde est rempli de fantaisie tu es un artiste de la bouffonnerie
Tu es pourtant enfermé dans ce corps et, tu ne ménages pas tes efforts tes progrès sont de grandes victoires et tu arrives à nous redonner espoir
Tes silences sont des absences qui t'emprisonnent de manière intense on les appelle le petit mal sournois dysfonctionnement cérébral
Ils t'empêchent de t'exprimer clairement tes appels sont donc des gémissements c'est le seul moyen que tu as trouvé pour montrer que tu as le droit d'exister
Tu m'as appris l'humilité tu m'as ainsi sauvé de la médiocrité tu m'as fait découvrir d'autres contrées riches par toute son immensité
Pour toi, je soulèverai des montagnes je leur montrerai toute ma hargne je te défendrai toujours contre les ignorants, les sourds
Je t'apprendrai à marcher la tête haute car tu n'as commis aucune faute tu peux être fier de ce que tu es même si la nature ne t'a pas tout donné
Tu es pour moi le fils parfait celui qui ne me déçevra jamais Et quand tu balbuties " je t'aime maman " Mon coeur pleure de joie tout simplement

16.6.07

Il doit avoir un Sacré Ange-Gardien... Même plusieurs tu as raison Amamie, il n'est pas abandonné il est suivi pas à pas!

L'Amour de ses parents peut être aussi un bout de réponse...

Sermon sur la montage. Lithographie coloriée. ©Collection The Provincial Museum of Alberta. PMA:J99.1961. Comme les Dix Commandements de Dieu reçus par Moïse sur le mont Sinaï, le Sermon sur la montagne de Jésus est une révélation intime d'une sagesse dont la profondeur laisse l'esprit humain perplexe.

« Ce très beau système du soleil, des planètes et des comètes » ne doit pas être attribué à quelque « nécessité métaphysique aveugle », mais « ne peut venir que du conseil et de l'empire d'un Être intelligent et puissant » qui gouverne toute chose « non pas comme l'âme du monde, mais comme Seigneur de tout.» Isaac Newton, Philosophiae naturalis principia mathematica (Principes mathématiques de la philosophie naturelle) Au siècle des Lumières, le christianisme et l'esprit de « fanatisme » que certains l'accusaient de susciter firent l'objet de nombreuses critiques pénétrantes. Des penseurs comme Voltaire et Diderot s'en sont pris avec virulence à la superstition et à l'irrationalité de certaines parties de la vision du monde chrétienne. Cet assaut dévastateur a fait apparaître une nouvelle image de Jésus comme Pédagogue du sens commun. Pour un grand nombre de penseurs des Lumières, la beauté et la sagesse du message de Jésus n'étaient pas liées à ses origines surnaturelles mais à son universalité et à sa compatibilité avec la raison. Les philosophes ont disséqué le Nouveau Testament et ont longuement scruté les documents historiques en quête du « vrai Jésus », l'individu en chair et en os, dont les enseignements éminemment rationnels étaient perçus comme la sécrétion d'une personne extraordinairement sensible. Les enseignements de Jésus faisaient autorité non pas parce qu'ils avaient été proférés par le Messie, mais en raison de leur validité intrinsèque. www.virtualmuseum.ca/.../theme-fr-11-6-sec.html.