la vie

20.6.06

Quel paradoxe que cet étalage de nos intimités ? Peut être est ce une partie du piment de l’histoire car quel délice alors de se plonger tête baissée dans cet inconnu. Je ne sais rien de vous et vous ne saviez rien de moi. Je ne sais donc qu’une chose ce que je sens et ressens. Cette attirance est un fait assez exceptionnel par son intensité et sa pureté unique pour que je puisse en parler librement sans craindre rien ni personne. J’aimerais vous connaître, vous découvrir un peu plus chaque jour mais auparavant il me fallait briser le mur du silence qui me sépare de vous. J’aimerais aussi vous connaître pour arrêter de dire « vous » et démarrer une relation en «tu». Un « vous » si froid, si mort, si impersonnel, si cassant pour tous les rapports humains qu’il me semble impossible de continuer à vous dire vous tellement j’ai envie de dire « tu ». Je ne connais même pas votre nom et pourtant j’ai l’impression étrange de vous avoir toujours connu. Quel sentiment peut on ressentir envers quelqu’un qu’on ne fait que lire que quelques secondes par jour, à se demander si vous êtes réelle ou sortie tout droit de mon imagination fertile ? Je ne sais pas si l’on peut décemment se confier à l’inconnue que je suis à travers ce blog Vous serez en droit de vous dire que ce contact épistolaire est un peu superficiel jusque là mais je veux justement en venir à l’essentiel de ma démarche. Par ce message, je vous tends donc une carte du tendre à jouer et j’aimerais beaucoup que vous la jouiez en retour. Si vous décidez pour des raisons diverses que le jeu n’en vaut pas la chandelle, j’aurais alors eu le privilège de pouvoir vous livrer sincèrement ce que beaucoup n’ont peut être pas eu le courage de vous livrer : un remerciement à présence qui rend la vie irrésistiblement plus belle, tout simplement.

10.6.06

J'ai découvert ces écrits sur JSC Merci à vous les filles :

Chère Monique, je voulais te dire que ton blog est magnifique, tes mots sont si justes, à chaque ligne j'étais bercée par cette douceur, j'ai absolument tout lu je crois que le maman de Laurence a participé aussi, je voulais vous dire merci, de nous faire partager cet Amour. Je vous embrasse, Valérie

Oui Valilulu, le blog de MOnique est un grand moment d'émotions. Il est beau, tendre, partagé, à l'écoute de l'autre. Monique, tu es magnifique ! Et dire que sans JSC, nous ne nous serions pas rencontrées ! ... Je te fais un gros bisou Sandrine / Maldives

Sandrine écrivant le message pour l'Anniversaire de l'envol de Chloé

Trop Belle même au lever, pas contente d'avoir été prise en photo "sans maquillage!" lol . Mais toujours avec le sourire c'est agréable tout de même... A BON ENTENDEUR SALUT!

9.6.06

A l'image de cet enfant, je vais un petit peu prendre du recul, car après avoir pris quelques mois, je peux même dire de longs mois sympatiques il me faut reprendre sérieusement du travail... Je continu un nouveau blog, mais en dilettante et plus en compensation de mon trop plein de temps et d'amour... Je suis obligé de changer de site car celui ci est devenu trop difficile à gérer trop lent aussi car trop de textes et illustrations.... Voici la nouvelle adresse :http://rom-notrevie.blogspot.com/ Je remercie tous ceux qui sont passés et laissés des messages, je continurais par contre de suivre les nouveaux messages sur ce site, vous pouvez par conséquence toujours laisser vos petits mots... Monique

Voleur d’innocence, chaque matin à l’aube,
Pour libérer ma souffrance, j’irai pourrir ton aube,
D’apparence si pure, des traces ont surgit,
D’ atroces blessures, d’ou l’impardonnable gît.
Assassin de nos vies, dénoncer l’infâme,
Et pour notre survie, j’irai cracher sur ton âme,
Sans l’ombre d’un remord , la haine au coin des lèvres,
J’hurlerai encore ta mort, à toi l’orfèvre !
Scélérat de l’humanité l’enfer t’attend,
Tu ne seras acquitté, le corps empestant,
La chair de tous ces enfants meurtri jusqu'à l’âme,
Massacreur d’innocence ! J’irai cracher sur ton âme !

Les inséparables Ursula et sa jolie maîtresse. Photo envoyée pour Roman au début de nos échanges mails. Tu m'as promis une nouvelle photo ... Merci Victoire pour m'avoir permise de te joindre à nous. Très bientôt d'autres photos, j'attends les vôtres!!!!

Le bonheur Si tu ne trouves pas le bonheur, c’est peut-être que tu le cherches ailleurs... Ailleurs que dans tes souliers. Ailleurs que dans ton foyer. Selon toi, les autres sont plus heureux. Mais, toi, tu ne vis pas chez eux.Tu oublies que chacun a ses tracas.Tu n’aimerais sûrement pas mieux leur cas. Comment peux-tu aimer la vie si ton coeur est plein d’envie, si tu ne t’aimes pas, si tu ne t’acceptes pas ? Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute, c’est de rêver d’un bonheur trop grand. Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes : ce sont de toutes petites qui font les océans. Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs. Ne le cherche pas non plus dans l’avenir. Cherche le bonheur dans le présent.C’est là et là seulement qu’il t’attend. Le bonheur, ce n’est pas un objet que tu peux trouver quelque part hors de toi. Le bonheur, ce n’est qu’un projet qui part de toi et se réalise en toi. Il n’existe pas de marchands de bonheur. Il n’existe pas de machines à bonheur. Il existe des gens qui croient au bonheur. Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur. Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît, à quoi te sert de briser ton reflet ? Ce n’est pas ton miroir qu’il faut casser. C’est toi qu’il faut changer ! Charles-Eugène PLOURDE, Une lumière sur mes pas, Trois-Rivières 2003 Ces deux là nous montre le chemin du bonheur, suivons leur exemple... Lol, vi c'est vrai nous sommes heureux, j'ai l'honneur de vous présenter mon chéri Nicolas....Gros bisousValérie/Valulili

C'est si justeIl n'y a pas de mot pour dire "je t'aime" en amitié... http://images.google.fr

C'est parfaitement ce que l'on ressent lorsqu'un de nos papillons s'envole du groupe jsc.
Nous sommes orphelins de leur amitié
et les années 2005 et 2006 ne nous aurons pas épargnés zut!
Encore une journée de nostalgie en pensant a tous ceux qui nous manque
Courage les perdants d'aujourd'hui seront les gagnants de demain...
Battez vous dure contre votre
ennemi, vous êtes plus déterminés que lui qui fini par mettre un genou à terre
terrassé le profitez de la vie elle vaut d'être véccu.

Où donc est le bonheur ? disais-je. - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Plus tard, aimer, - garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d'un ineffable hymen, Envier l'eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d'une parole, Connaître un pas qu'on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d'avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu'un regard, qu'une fleur, qu'un soleil ! Puis effeuiller en hâte et d'une main jalouse Les boutons d'orangers sur le front de l'épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu'il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l'illusion, l'espérance, et sentir Qu'on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S'éprendre d'art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s'égarent nos pas ; Redemander cet âge où l'on ne dormait pas ; Se dire qu'on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s'enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d'amour ! Vieillir enfin, vieillir ! comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Être sage, et railler l'amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d'un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs ! Ainsi l'homme, ô mon Dieu ! marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d'ombre. C'est donc avoir vécu ! c'est donc avoir été ! Dans la joie et l'amour et la félicité C'est avoir eu sa part ! et se plaindre est folie. Voilà de quel nectar la coupe était remplie ! Hélas ! naître pour vivre en désirant la mort ! Grandir en regrettant l'enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! Où donc est le bonheur, disais-je ? - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! 28 mai 1830
Je t'embrasse, au plaisir de te lire Une amie: Valérie.
Texte que m'a envoyé mon amie Valérie, de jeune solidarité cancer
Merci ma Belle, courage tu es sur le bon chemin...

8.6.06

J'apprivoise les larmes Les larmes qui ne coulent pas s'accumulent en nous,
et forment d'immenses réservoirs de tristesse
qui nous envahissent ensuite sans crier gare à toi. Si ces larmes ne sont pas versées,
elles finiront par t'étouffer à un moment donné. Accepte les larmes tout simplement
les nôtres comme celles des autres.
Vous pouvez retrouver de jolis textes : http://www.univers-de-coco48.com/merveilleux-week-end.html.

A méditer, une histoire qui m'a été envoyée par Cathy "Victoire" et qui selon elle va bien dans le sens de ce que je pense. Vous allez nous prendre pour des moralistes?. Mais que c'était bon d'avoir des gardes fou Merci à toi Cathy. Ce texte mérite bien de figurer en bonne place : "Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui se nommait "Bon Sens" et qui a vécu parmi nous depuis de longues années.Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont été perdus il y a bien longtemps dans les méandres de la bureaucratie.On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui arrive est peut-être de MA faute"." Bon Sens " vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs, comme "Ce sont les parents, et non les enfants, qui décident "." Bon Sens " a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières et le respect. Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop excité, a encore aggravé l'état de santé de " Bon Sens ". Il s'est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d'un élève, sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus par l'enfant." Bon Sens " a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient un meilleur traitement que leurs victimes. Il a encore pris des coups quand cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression." Bon Sens " a définitivement perdu sa foi quand un homme qui n'avait pas réalisé qu'une tasse de café bouillante était chaude, en a renversé une petite goutte sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.La mort de " Bon Sens " a été précédée par celle de ses parents: "Vérité" et "Confiance", de celle de sa femme "Discrétion", de celle de sa fille " Responsabilité" ainsi que de celle de son fils" Raison".Il laisse toute la place à ses trois faux frères: "Je connais mes droits", "C'est la faute de l'Autre" et "Je suis une victime".Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n'y a plus beaucoup de personnes pour se rendre compte qu'il est parti.Si vous vous souvenez de lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien!" Que de bon sens J'ai découvert que, dans la Bible, il y avait des proverbes : certains me plaisent beaucoup."les paroles aimables sont un rayon de miel : doux au palais, salutaires au corps. Ecoutez ce que dit la Bible sur le mariage."Trouver une femmme, c'est trouver le bonheur,c'est obtenir la faveur de Yahvé"ça ne vous donne pas envie de vous marrier, ça ? hein ?

La recherche dans toutes les cultures du mécanisme des maladies est dévolue aux scientifiques, celle de la raison de leur apparition appartient aux Sages. Eux-mêmes l'ont clairement énonce dans leur aphorisme : "Les Sages ne sont pas des médecins!" Le Créateur ne peut être source du "mal". Ainsi, la maladie, ne devra pas être considérée comme un mal qui atteint mais comme un moyen utilisé par le Créateur pour "parler", "retenir l'attention" ou se "préoccuper" de sa créature. Parfois de manière plus pragmatique, la maladie est évoquée à la suite d'imprudence ou de comportements à risques. Les facteurs pathogènes existent et ont été conçus par le Créateur, mais il faut s'en protéger. Personne ne peut se permettre de se mettre en danger en affirmant : "Si le Créateur ne veut pas que la maladie m'atteigne, elle ne m'atteindra pas !". Cette prétention à demander au Créateur de changer les Lois de la nature qu'Il a créée est plus que déplacée " Tout est entre les mains du ciel sauf le froid et le chaud". Cela veut dire clairement que ceux qui sont trop légèrement vêtus l'hiver ou trop chaudement l'été seront tenus pour seuls responsables de ce qui leurs arrive et certainement pas le ciel ou la désobéissance éventuelle à la Loi. La maladie c'est peut-être aussi un moment de réflexion qui devrait servir à faire le point, à se remettre en question, à s'analyser et analyser sa vie. Enfin, s'il est vrai que le Créateur envoie la maladie, celle-ci ne doit pas être acceptée sous prétexte de soumission. Il faut tout faire pour combattre les maladies, c'est plus qu'une autorisation, c'est un devoir. Bien que le Créateur ne soit jamais source de "mal", la maladie est tout de même perçue comme une grande souffrance à tout malade. Cette souffrance lui sera décomptée en expiation lors du jugement dernier, chacun rendra des comptes sur toutes les actions entreprises dans sa vie. Les souffrances endurées auront cependant valeur d'expiation et pourront le rendre quitte dans une certaine mesure. Certains êtres exceptionnels dans certaines situations exceptionnelles, peuvent avoir à passer des épreuves dans le seul but de leur élévation spirituelle. La Tradition impose de suivre les règles communes et considère "naturel" de consulter les médecins. Le malade qui ne le ferait pas en rendra compte et son attitude, jugée "imbécile", sera estimée condamnable. De même, la Tradition Hébraïque interdit par excès de piété de donner la primauté à Chabbat (jour sacré) sur les soins à prodiguer à un malade gravement atteint. Le malade doit entendre raison, sinon on le forcera à se soigner. Pour Kippour, (jour sacré et jeûne du Grand Pardon,) le malade ne doit pas faire du zèle. Si ses médecins jugent que le jeûne le met en danger, il est interdit au malade de respecter ce jour: il serait considéré comme responsable de ce qui lui arriverait. Dernier exemple dans le même esprit, si le traitement nécessite que le malade gravement atteint ingurgite des produits non cachers (interdits à la consommation dans la Tradition Hébraïque), celui-ci ne peut les refuser, car sa vie est un jeu. Le médecin apprend puis utilise l'art de soigner et parfois de guérir. Mais, si le malade se doit de le consulter, il doit savoir que la guérison véritable ne viendra que du ciel et non du médecin ou de la thérapeutique.En effet, pour la Tradition Hébraïque, la guérison véritable ne vient qu'après avoir demandé la miséricorde divine au Créateur comme il est dit Deutéronome XXXII, 39 "...c'est Moi qui fait mourir et qui fait vivre, qui frappe et qui guérit..." et encore Exode XV, 26,"...car je suis l'Éternel qui te guéris".

La mort n'est rien L'amour ne disparaît jamais, la mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, tu es toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi. Prie pour moi, que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été,sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Elle est ce qu'elle a toujours été, Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce que je suis hors de ta vie... Je t'attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien.

Qu’est ce que la mort ? Pour moi, il s'agit de l'arbre qui cache la forêt, une immense forêt verdoyante, belle, animée, très animée ... MAIS qui comporte une multitude de chemins, d'accès, de portes ...MAIS il ne faut pas être inquiet, nullement, car nous avons en principe toute la Vie pour nous y préparer, pour faire ce qu'il y a à faire vis à vis des autres donc de nous-mêmespour modifier puis affûter notre vision du monde, des genspour finalement la ressentir vivre en nous, nous modifier, nous construire petit à petit, tout doucementpour mieux vibrer et être en harmonie avec elle Et finalement pour mieux aller vers elle, sans peur, comme un pas de plus avant ... de tout oublier et de recommencer, encore une fois ... Dans la joie et le bonheur de ce passage, moi je vois ma mort comme une étape très importante que l'on doit franchir après chacune de nos vies. Je dis chacune de nos vies parce que je crois en la réincarnation. Je pense que la mort nous permet de prendre du recul sur notre vie passée. Avant j'avais peur de la mort car je croyais qu'elle n'était rien. Je croyais que quand l'on mourait c’était le néant. Mais en me posant des questions j'aime mieux la voir ainsi ! :) Personne n'est revenu du royaume des morts pour nous le dire... mais je crois que la mort ne peut être que bénéfique ! En tout cas j'en ai plus peur. Ma grand-mère m'a dit un jour que plus on était gentil, tolérant et aimant plus on avait vécu de vies. Quelqu'un qui est méchant et sans scrupules vit ses premières vies ! J'aime bien aussi ce sens de la vie et de la mort. C'est ce qui m'a fait croire que la mort nous permet de penser à tout ce que l'on a fait ou pas fait dans notre vie ! Si pour moi personnellement, il met agréable de penser que la mort, est le retour à la vie. Elle est la source de l'éternel, de revoir ceux que j'ai aimé, qui m'ont aimé, qui m'attendent, me réjouit, mais comment les revoir s’il y a le retour à la vie. Ici je ne comprends plus ? Ils seront où ?La mort en soi est une délivrance, l'âme reprends son chemin de retour et redevient elle, la vie. Le corps c'est-à-dire le vêtement qui l'a habillé pendant un certain temps reste dans le néant, l'âme ne le regarde plus car elle le laisse pour en reprendre un autre plus tard.Maintenant la mort d'une personne proche est perçue autrement car là ce sont nos sentiments d'êtres humains qui prennent le dessus. Car le manque physique est là, la perte est présente, même sachant que la vie pour lui où elle continue, nous ne sommes que des êtres faits de chair et de sang (donc fatalement égoïstes !). Pour la mort des proches, j'ai ressenti une sorte de vide émotionnel subit, comme si des liens psychiques avaient été rompus. Comme ça arrive à la fin d'une relation amoureuse, une sorte de calme de renoncement.Après il y a des moments de nostalgie, on regrette le lien, souvent j'ai pensé "tiens je vais lui téléphoner pour lui dire ça", mais plus personne au bout du fil. De très nombreux rêves me faisaient penser que je les avais oubliés n’allant plus leur porter de nourriture ni même rendre de visite. Ou encore ne sachant plus me rendre chez eux ou ne pouvant plus par manque d’escalier….Peut être que plus tard notre descendance, où l'autre sera capable de communiquer avec les esprits comme nous communiquons au téléphone et pour eux la mort sera chose normale. Mon mental affûté par mes écrits lorsque vous en aviez le plus besoin, me reviennent comme un boumerang maintenant à moi de les mettre en pratique. Merci Maïté ! Tu es assurément une âme soeur... Cette mort qui fait peur à tout le monde, que nous attendons tous avec appréhension, et qui nous libèrera de cette vie terrestre si accidentée pour certains. Personnellement je l'envisage comme une libération (il y a aussi l'expérience accomplie qui joue), on peut la souhaiter parfois, et même envisager le suicide pour s'en débarrasser car trop dure ou difficile à vivre, les épreuves nous apparaissant trop insurmontables, on peut la redouter aussi à cause de la séparation que l'on pense inéluctable à jamais d'avec ceux qui nous sont très chers, et donc redouter le mal être qu'elle va engendrer dans le coeur. A certains autres, la mort apparaît comme souhaitable car la maladie est incurable et l'on veut cesser de souffrir etc.En fait la mort est un retour aux sources de chaque existence, elle nous ramène à l'infini, l'amour, la paix, la connaissance, la vérité, la vraie existence, elle est sûrement un paradis pour certains et moins pour d'autres. Nous y sommes amenés à faire face à nos comportements passés dans la vie, nos sentiments, nos actions etc. Et là, face aux esprits qui nous entourent nous ressentirons et comprendrons immédiatement ce qui fut bien ou mal dans l'expérience de la vie que nous aurons juste quittée, nous serons seul juge de nos faits et actes et ce jugement sera inéluctablement celui du juste esprit qui aura compris ses fautes et ses bienfaits... On pourra selon les cas s'y trouver dans des sphères bien heureuses, ou dans d'autres qui s'apparenteront au bas astral... La foi en Dieu fera sans doute la différence ! Et avec ce qui arrive pour Roman, et pour tous les jeunes innocents touchés comme lui et fauchés dans leur trop jeune âge, je ne peux plus y appliquer mes espoirs et plus j’y pense plus j’ai des doutes ? Avez-vous une réponse cohérente ?

Cheveux d'argent
Ton coeur de soleil brille, au-dessus de la clairière que tu es.
Dans la forêt de métal et de verre reflets d'arc-en-ciel sur les vitres embuées une lumière frôle les âmes émerveillées.
Dans la chaleur d'un regard pétillant il fait bon dans les bras de maman lumière, elle est un toit qui vous couvre de chaume.
Elle est un nuage qui vous englobe pour vous caresser de sa ouate nacrée.
Ses fils de diamants étendent leur toile d'amour dans la terre d'érable pour faire éclore de nouvelles fleurs, et que le monde devienne un immense champ de fraternité entre les hommes. Ce texte nous convient tellement... Vous pouvez retrouver de jolis textes : http://www.univers-de-coco48.com/merveilleux-week-end.html.

Andalouse vous souhaite une excellente journée et vous montre que chez ses maîtres la vie n'est point désagréable pour elle. Et qu'à neuf mois il faut réaliser son éducation... Hum côté interdit ce n'est pas trop cela, nous sommes faibles lol Mais la vie peut parfois être "courte", les bonnes choses sont donc accordées après tout c'est notre "fifille" lol.

7.6.06

La lune ne plus revenir nous éclairer,
les chemins ne plus savoir où aller.
Les chiens peuvent se laisser museler,
le lierre accroché se faire arracher,
la forteresse battue en brèche se renier,
l'océan en avoir marre de se faire rouler.
Les lettres veulent s'en aller au panier,
l'horizon se fatigue à s'embrumer,
le sommeil peut bien m'oublier.
Les yeux ne savent plus où se poser,
les fenêtres se tiennent à carreaux brisés,
Les églises ne se font plus prier.
Les pierres rouges ont fini de saigner,
les trains s'entraînent à dérailler,
le poisson dans son bocal s'est enfin noyé,
la mort peut bien me rappeler,
puisque tu as cessé pour moi d’exister...

Devons nous apprendre à laisser le temps au temps?
L'espoir est le seul refuge de l'instinct maternel. Le langage du chagrin maternel est profond et le secret en est indéchiffrable.
On ne bâtit pas un avenir sur des souvenirs et des sacrifices si beaux soient-ils.
Combien faudra-t-il de temps au temps?
Pour réguler nos vies et chaque instant,
Et qu'enfin le ciel allége nos larmoiements
Qu'on puisse apprendre à profiter du moment
L'esprit libre des tempêtes et des ouragans
On pourra vivre, profiter de chaque instant
Porté comme une feuille surfant sur le vent
Notre seule vitamine: la liberté d'un enfant!
Ce n'était qu'un joli rêve, la folie d'un moment
Et s'il n'y avait plus d'espace, plus de temps
Les délices de la vie seraient savourés goulûment
Mais une douce torture nous titille en dedans
Vivre auprès d’un « petit ange » n'est pas sans tourment
Il nous faut diriger l'axe du temps et lui apprendre très rapidement
Pour que rien ne se gaspille du bonheur irradiant
Du soleil, des fleurs et des fruits nous entourant.
Ce serait alors le paradis, l'Eden au bout du firmament
Au bout de l'arc-en-ciel, sans frontières, sans serment
Sachant que tout ce qui nous habite profondément
Sera d’un trop court moment.
Mais on nous a toujours dit de laisser le temps au temps
C'est fou comme j'ai entendu ça, tellement souvent
Toutes les blessures, je voudrais guérir maintenant !
Dites-moi combien faudra-t-il de temps au temps

6.6.06

LES TEMPS CHANGENT Nous avons des édifices plus haut mais de moins belles vues,
gagnons beaucoup plus, mais en avons moins, avons de plus grandes maisons mais de plus petites familles,plus d'appareils ménagers mais moins de temps, plus de diplômes mais moins de bon sens, plus de savoir, moins de jugement, plus d'experts, plus de problèmes, plus de médecins, moins de soins, plus de remèdes mais plus de maladies. Nous avons multiplié nos possessions mais réduit nos valeurs, avons réussi dans la vie mais pas notre vie, avons ajouté des années à la vie mais pas de vie aux années, allons sur la lune mais incapable de parler à nos voisins, planifions beaucoup sans accomplir beaucoup, apprenons à nous dépêcher mais sommes jamais patients, avons des revenus plus hauts mais le moral plus bas. C'est le temps des "fast food" et des digestions lentes, des hommes plus grands mais des caractères plus faibles, des loisirs plus nombreux avec moins de plaisir, des belles maisons mais des foyers brisés. C'est le temps des voyages éclairs, des aventures d'un soir, des pilules pour rire ou pour s'endormir, des bébés éprouvette,
des clonages et des opérations d'un jour.
C'est le temps des grandes technologies...

Illustration : Dans un cyber café, Ouagadougou, Burkina Faso,
L'ami lointain se tient au chaud aux quatre coins de mon cœur
Sourire tapis en taupinières souterraines
L'ami inconnu que je connais si bien Sans peau et sans haleine et que je touche du doigt sur le clavier Tièdes les touches au cliquetis d'oiseaux sur les branches
L'ami lointain a le sourire du courrier et le doux silence des mots Je n'attends rien de l'ami lointain mais le rencontrer est un don du ciel
Lumineux de présence
Lui seul sait écouter mon silence
Lui seul a des chansons pour bercer mes sommeils tristes
Et mon bonheur remplit ses yeux L'ami lointain a le corps chaud de l'amitié
Nous entrons en correspondance
L'ami lointain me correspondJe n'attends rien de lui
Mais sa présence est un soleil au creux de la nuit
Qui illumine toutes les fenêtres
Derrière la vitre, ce n'est plus mon reflet
C'est l'ami qui se tient tout près
À l'autre bout du monde pour me consoler Écouter le silence de mon écriture Dans le désert La fureur de la ville
Le chant des oiseaux
Ou les cris des garçons de café
L'ami se suspend aux mots de l'ami
Et les écoutes avec son cœur Le visage de l'ami de l'autre côté de la terre
Son sourire traverse les nuages
Parfois, il n'écrit pas, mais je sais qu'il écoute
Et je crois sentir derrière la mienne Sa main sur le clavier

Il était une fois une fourmi qui ne voulait pas travailler. Vicky aimait mieux se tourner les pattes, jouer et courir. Tout au long de la journée, toutes les raisons étaient bonnes pour ne pas travailler. Cependant elle s'ennuyait beaucoup car elle était seule pour jouer; les autres préféraient travailler et jouer quand c'était le temps.Un jour que Vicky était partie en forêt, une fée araignée vint à la fourmilière. Elle expliqua au groupe qu'elle cherchait la meilleure fourmi du monde et que pour cela, elle lançait un concours. Chaque fourmi pourrait accumuler des points si elle travaillait quand c'était le temps, jouait au bon moment et avait aussi beaucoup d'amis. La fée elle-même surveillerait le déroulement du concours.Et les petites fourmis se mirent au travail car chacune savait qu'elle pouvait gagner. Elles étaient infatigables; leurs fines pattes étaient toujours en mouvement, elles ne sentaient ni la fatigue ni les crampes. Lorsque Vicky revint à la maison, elle trouva qu'il y avait beaucoup de remue-ménage. Personne ne lui parlait; on n'avait pas le temps. Toutes les fourmis chantaient, souriaient, transportaient des provisions. Elle se sentait un peu à part. Lorsque vint le soir, elle réussit à savoir ce qui se passait et pourquoi tout le monde était si grouillant. Alors elle se dit qu'elle voudrait bien gagner le concours et que, surtout, elle était capable de le gagner.Dès le lendemain, notre petite fourmi accompagna les autres au travail. Ses petites pattes étaient fatiguées parce que Vicky n'était pas habituée à faire de grosses journées. Mais elle ne se découragea pas car elle voulait gagner le concours et devenir la meilleure fourmi du monde.Elle travailla et joua quand c'était le temps. Elle se fit beaucoup d'amis car elle était joyeuse et c'était très agréable de travailler avec elle. Puis la grande finale arriva. Toutes les petites fourmis inscrites au concours étaient anxieuses. La fée araignée nomma enfin la gagnante: " Pour avoir fait beaucoup d'efforts, pour avoir amélioré son rendement, je nomme "petite fourmi Vicky" grande gagnante". Tous applaudirent. L'araignée lui dit: " tu seras toujours une travaillante et lorsque tu sentiras que tes petites pattes sont fatiguées ou que tu manques de courage, tu prendras trois grandes respirations et tu seras enveloppée d'un nuage bleu qui te donnera la force et le courage de continuer. Ce nuage, il n'y a que toi qui pourra le voir. Ainsi, tu resteras la meilleure fourmi du monde".

Mon fils, aujourd’hui si grand
Partis à la rencontre de vos tourments..
En mon sein si doux est gravé la trace,
De ton amour d’antan que rien ne remplace..
Mon corps usé par la vie ne saurait oublier,
Les heures magiques passées à vous bercer,
Malgré le temps, malgré les ans, votre douce chaleur..
Reste blottie, protégée, au fond de mon coeur...
Que notre maison me semble triste..!
Sans les jeux, et les éclats de rire de notre petit Roman!
Même le soleil,, n'ose plus y entrer...
Il craint de percer l’ombre, de sa place abandonnée..
Quand la nuit recouvre le ciel de son manteau étoilé,
Je revois son visage, son sourire... Lui conter le Petit Prince, la beauté du ciel,
Inventer pour lui des histoires d' arc-en-ciel...
Puis un torrent de tendresse, le berçait doucement,
De mes bras rassurants,était né son firmament...
Je cueillais alors, heureuse, sur sa joue la rosée,
Qui dans mon coeur venait, tel un élixir, se verser..
Vous êtes, mes enfants, la plus douce page de ma vie,
Que je lis et relirais , l'âme emplie de magie...
Vous resterez le plus bel édifice, la plus noble pierre,
Qui a bâtit ma vie, mon bonheur, mon univers...
Et si sous mon aile reste un grand vide aujourd'hui,
J'attends sagement de nouveau un merveilleux signe de la vie,
Celle que vous redonnerez, mes fils a votre tour,
Et que mes cheveux blancs, vous me couvrirez de nouveau de gentillesse...
Il est permis de rêver n'est ce pas Pascal, peut être qu'un jour
tu chercheras à savoir le pourquoi ?
Je ne te souhaite cependant pas de connaître pareille méprise
dans ta vie de beau père....

Résignation C'est une pauvre vieille, humble, le dos voûté.
Autrefois on l'aimait, on s'est disputé pour elle.
Qui sait ? Peut-être un jour tu seras regretté
De celle qui dit non, maintenant qu'elle est belle.
Elle aussi vieillira, puis l'ombre universelle
La noircira, comme toi, dans son immensité.
Il faut que les grands dieux, pour leur oeuvre éternelle,
Reprennent le bonheur qu'ils nous avaient prêté.
Nous sommes trop petits dans l'ensemble des choses ;
La nature mûrit ses blés, fleurit ses roses
Et dédaigne nos voeux, nos regrets, nos efforts.
Attendons, résignés, la fin des heures lentes ;
Les étoiles, là-haut, roulent indifférentes ;
Qu'elles versent l'oubli sur nous ; heureux les morts !

Nirvana
"EXTINCTION DE LA DOULEUR"
L'universel désir guette comme une proie
Le troupeau des vivants ; tous viennent tour à tour
À sa flamme brûler leurs ailes, comme, autour
D'une lampe, l'essaim des phalènes tournoie.
Heureux qui sans regret, sans espoir, sans amour,
Tranquille et connaissant le fond de toute joie,
Marche en paix dans la droite et véritable voie,
Dédaigneux de la vie et des plaisirs d'un jour !
Néant divin, je suis plein du dégoût des choses ;
Las de l'illusion et des métempsycoses,
J'implore ton sommeil sans rêve ; absorbe-moi,
Lieu des trois mondes, source et fin des existences,
Seul vrai, seul immobile au sein des apparences ;
Tout est dans toi, tout sort de toi, tout rentre en toi !

Le soir Plus fraîche qu'un parfum d'avril après l'hiver,
L'espérance bénie arrive et nous enlace,
La menteuse éternelle, avec son rire clair
Et ses folles chansons qui s'égrènent dans l'air.
Mais comme on voit, la nuit, sous le flot noir qui passe
Glisser les pâles feux des étoiles de mer,
Tous nos rêves ailés, dans le lugubre espace
Disparaissent, à l'heure où l'espérance est lasse.
En vain on les rappelle, on tend les bras vers eux ;
Les fantômes chéris s'en vont, silencieux,
Par le chemin perdu des paradis qu'on pleure :
Ah ! Mon ciel était là, je m'en suis aperçu
Trop tard, l'ange est parti, j'ai laissé passer l'heure,
Et maintenant tout est fini : si j'avais su !
Mais n'avons nous pas l'éternité pour nous retrouver?

5.6.06

La sirène
La vie appelle à soi la foule haletante
Des germes animés ; sous le clair firmament
Ils se pressent, et tous boivent avidement
À la coupe magique où le désir fermente.
Ils savent que l'ivresse est courte ; à tout moment
Retentissent des cris d'horreur et d'épouvante,
Mais la belle sirène, à la voix caressante,
Les attire comme un irrésistible aimant.
Puisqu'ils ont soif de vivre, ils ont leur raison d'être :
Qu'ils se baignent, joyeux, dans le rayon vermeil
Que leur dispense à tous l'impartial soleil ;
Mais moi, je ne sais pas pourquoi j'ai voulu naître ;
J'ai mal fait, je me suis trompé, je devrais bien
M'en aller de ce monde où je n'espère rien.

Je ne peux te voir ni te toucher
Je ne peux te serrer ou t'embrasser
Je ne peux que t'imaginer
Dans les brumes de ma pensée.
Quand les vagues de l'émotion me submergent
De mon inconscient tu émerges
Telle une sirène des profondeurs bleutées
Tu viens me parler à mes côtés.
Tu nages alors à travers mes pensées
M'accompagnant partout où je vais.
Tu as déposé dans mon coeur une perle sacrée
Une étoile bleutée que représente notre amitié.
J'en suis maintenant le gardien
Au plus profond de mon être
Malheur à ceux qui voudraient qu'elle s'arrête
Petite sirène de mes pensées
J'espère un jour te rencontrer
En attendant ce jour
La perle de notre amitié
Brillera dans mon coeur à jamais.
La voici Christophe ta petite Sirène, grace à nos amis internautes....

Dans la solitude de la nuit
Une voix a surgi
Et d’elle une lumière a jailli
C’était la lumière de la vie
Un arc en ciel de douceur
Tout droit venu du cœur.
Alors je me suis envolé
Pour aller la retrouver dans le ciel étoilé
Car elle est l’ange des couleurs
Qui s’est posé sur mon cœur
Pour m’apprendre à aimer. Rakmai- 1999 -

ADIEU LE GROS JOJO


Le jour où votre animal devra vous quitter... Le jour où vous aurez très mal à accepter cette séparation... ce texte pourra peut-être vous réconforter ! Quand le temps viendra… Si arrive le moment où je deviens frêle et faible Et que la douleur m’empêche de dormir Alors fais ce qui doit être fait La dernière bataille ne peut être gagnée. Tu seras triste, je comprends Mais ne laisse pas le chagrin t’arrêter. Pour ce jour, plus que tous les autres Ton amour et ton amitié doivent supporter l’épreuve. Nous avons eu tellement de belles années Tu ne voudrais pas me voir souffrir davantage. Quand le temps viendra, s’il te plait laisse-moi partir. Emmène-moi où quelqu’un prendra soin de moi Et reste avec moi jusqu’à la fin. Tiens-moi très fort et parle-moi Jusqu’à ce que mes yeux ne voient plus. Je sais qu’avec le temps tu seras d’accord Que c’est une bonté que tu m’as faite. Bien que ma queue ait branlé pour la dernière fois N’aie pas de peine
Que ce soit toi qui as dû prendre cette décision Nous étions très proches pendant toutes ces années Ne te laisse surtout pas envahir par le chagrin. ...ton copain à 4 pattes qui te remercie de lui avoir offert une si belle vie !
Et toi notre gros Jojo, toi qui était de la race des Seigneurs, merci d'avoir attendu que "ton Vétérinaire" arrive, pour que ta maîtresse ne soit pas seule pour le moment de ton grand départ. Puisque c'est toi et toi seul qui a choisit de t'envoler a cet instant précis.
Vous avez convenu que c'était le moment et tu lui a épargné de faire "le dernier geste d'amour", envers toi!
Adieu l'Ami! Je sais ce que tu représentais pour ta maîtresse elle va être inconsolable pendant longtemps ... Heureusement qu'elle a encore ta fille One qui est poils longs.

Avec la peur d’aller te rendre visite J’irai sur la pointe de mes larmes Demander à ton visage un léger regard. Avec la peur de voir tomber le ciel J’irai sur la pointe des pieds Allumer notre spéculation de l’espoir. Avec la peur de te perdre J’irai sur la pointe des doutes Chercher une lueur dans tes yeux songeurs. Avec la peur au ventre J’irai en courant malgré ma hantise Chercher un peu de compassion Avec la peur de ton oubli J’irai te retrouver malgré l’impression de ne plus y avoir ma place. Avec la peur qu’il soit déjà trop tard J’irai te demander pardon De ma lâcheté qu’est ce que cet affrontement A côté de ce que tu vis toi ?

"J'ai écrit ton nom dans le sable, mais la vague l'a effacé.
J'ai gravé ton nom sur un arbre, mais l'écorce est tombée.
J'ai incrusté ton nom dans le marbre, mais la pierre a cassé.
J'ai enfoui ton nom dans mon coeur, et le temps l'a gardé"

4.6.06

Je connais un ange qui compte énormément pour moi ! Cet ange a un sourire chaleureux, un rire contagieux, toujours là pour consoler et encourager, un ange généreux, avec le coeur sur la main, un ange affectueux tomber du ciel. Cet ange c'est toi, à toi mon amie, je dis un gros merci, merci de me comprendre, de m'accepter telle que je suis, sans vouloir me changer. Mais surtout merci d'être par hasard arrivée dans ma vie. Tu es et resteras une merveilleuse amie, à toi spécialement, que la santé et l'amour t'accompagnent Durant toute ta longue vie à venir !.
Ne doute pas, tu es au pied de cet escalier
qui va te mener au nirvana...

C'était hier, non une semaine et cela paraît déjà si loin.... Tu vois preuve que le temps passe vite lol! Il y a déjà eu tant d'événements depuis... Tennis, foot, rencontres, départ... Vous êtes trop belles , il a raison Christophe! Bisous à + pour quelques heures de téléphone!!! C'est toujours la fête t'entendre ton rire et même si parfois c'est trop émouvant de deviner tes pleurs... Big Bisous Monique

03 Juin- Jour de joie, visite de l'Ile de Porquerolles, avec mon amie Maldives et sa petite Agathe merveilleuse gamine... Superbe journée "interminable", c'était vraiment une journée pas de "tout repos", mais toute de glaces!...lol C'est agréable d'avoir des jeunes autour de soi, cela réchauffe le coeur... Avant de quitter ce merveilleux endroit nous sommes allez nous recueillir en pensant à vous tous les jsciens aux notres aussi, tous les papillons la dernière petite sirène comme dit tophe ... Image qui restera longtemps gravée dans nos souvenirs de pure bonheur. Merci les "filles", protégez vous bien toutes les deux vous êtes trops adorables...

ELLES SONT DEVENUE DE BIEN BELLES PERSONNES TOUTES LES DEUX...